Djamila nous guide dans l'aéroport avant de nous dire adieu. C'était encore une fois une guide fort agréable qui a su en peu de temps nous faire aimer son pays.
Les formalités de contrôle sont rapidement effectuées dans une ambiance bon enfant.
Il n'en est pas de même à l’atterrissage 1h15 plus tard à Tachkent. Les contrôles sont tatillons. On a droit encore une fois au gag d Catherine: "Mettez vous en colonne par ordre d'apparition sur le visa collectif". Contrairement au chinois, les ouzbèkes nous tamponnent quand même notre passeport. Il nous faut remplir deux petits papiers qui auront leur petite importance à la sortie du pays.
L'un pour l'entrée avec le montant de nos devises et l'autre pour la sortie où il faudra déclarer l'argent qui nous reste. Vous verrez ça ne sera pas triste. Notre guide, que Catherine s'empresse de renseigner sur notre dangerosité est anglophone et s'appelle Abdul. Il va nous accompagner jusqu'à notre départ pour la France. On recule nous montres d'une heure; ça sera autant de gagner dans le décalage horaire à Paris.
Tachkent et sa région sont sévèrement frappées par un tremblemen
Reconstrui
Le monuments aux héros. En fait il s'agit essentiell
Chaque "fenêtre" recèle un livre qui contient environ 15 000 noms
C'est aussi impression
Curieusement les personnes qui ont du tomber en luttant contre la Russie et après l'URSS ne sont pas mentionnées. Pourtant il y a du en avoir pas mal.
La flamme aux héros.
Des mamies en goguettes. Elles voudront nous inviter à manger chez elles. Hélas la vie de groupe....
Les ouzbeks sont musulmans sunnites mais tendance cool. Les intégristes barbus et violents existent et mènent une guérilla contre l'état dans le sud du pays. Le gouvernement profite de cette situation pour imposer un régime sévère au nom de la sécurité. Ici on ne s’aperçoit pas de ce problème.
Au Xinjiang, notre guide Mohamed était chiite et considérait que les sunnites n'étaient pas de vrais musulmans.
L'emblème de l'Ouzbékis
Deux élégantes ouzbèques.
Le palais du prince Romanov fut construit à la fin du XIXe siècle a été approprié par le Ministère des affaires étrangères ouzbek pour des réceptions officielle
Le palais de l'assemblé
Un oiseau du cru, rigolo
On s'arrête déjeuner dans ce restaurant chic. Au menu: nouilles, steak et riz dessert fourré à la pomme et la cannelle;
Nous nous rendons à notre hôtel pour y déposer nos bagages avant de partir visiter le musée.
La vue de la chambre donne l'impression d'une ville verte et ombragée. Tant mieux car il commence à faire très chaud.
Les collections permanentes (1700 pièces sont exposées) comprennent des bijoux, des armes, des équipement militaires, instruments musicaux ainsi que des effets personnels d'Amir Temur, Babur, Ulugh Beg, etc. Pour quelques photos des oeuvres voir ce site.
Nous effectuons un petit tour au marché couvert très moderne.
Notre guide Abdul, chemise à carreaux et lunettes noires, nous attend à l'extérieur.
Le pays est un gros producteur de cerises. C'est la saison. On en profite.
Nous dinons d'un repas quelconque dans un restaurant huppé à côté de l’hôtel. Nous regagnons notre hôtel, un peu fatigués comme d'habitude. Comme il y avait une fête, nous avions espérer nous mêler aux convives pour leur repas qui avait l'air plus appétissant que le nôtre. Mais ils ne commençaient leurs agapes que tard dans la nuit. Trop tard pour nous.
Quelques mails grâce au wifi, les dents, le pyjama, la prière et dodo.
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