Il est 2h du matin lorsque nous arrivons à l'aéroport. Malgré l'heure matinale, il y a beaucoup de monde au contrôle des bagages. Heureusement, Abdul arrive à nous faire passer par un coupe file. Le contrôle à l'aéroport est assez strict.
Encore une fois, Catherine nous fait le discours de la cheftaine. En rang par deux...Elle sermonne Bernadette pour qu'elle ne fasse pas de bêtise.
On remplit le petit papier dans lequel il faut déclarer l'argent qu'il nous reste en partant.
On s'est mis dans une mauvaise file qui n'avance pas. Catherine est folle de rage et veut en changer. Elle commence à péter les plombs.
El là, rigolade. Le douanier demande à chacun de lui rendre le document rempli lors de notre arrivée. Celui où l'on déclare l'argent qu'on a en rentrant et celui qu'on vient de remplir.
Tout se passe bien pour tout le monde sauf pour....Catherine.
Cette idiote s'est démerdée pour déclarer plus d'argent à la sortie qu'à l'entrée. Ça ne plait pas au douanier. Notre belle Deschamps persiste dans sa connerie. Finalement le douanier dans sa mansuétude l'oblige à remplir un nouveau formulaire de sortie.
Fin du gag.
L'avion par à l'heure. Le trajet Taskent Istambul se passe sans encombre sur le vol Turkish Airline.
A Istambul, la correspondance avec le vol pour Paris est très rapide.
C'est bizarre, on voit plus de femmes voilées dans l'avion que pendant tout notre voyage. Quatre heures plus tard nous voici à Paris. On n'a même pas droit au contrôle des passeports. Deux policiers se sont contenté de faire un contrôle au faciès dès la sortie de l'avion.Les bagages sont un peu longs à arriver mais ils sont présents pour tout le monde.
C'est le moment de nous séparer. J'ai du mal à serrer la main de Catherine et ça se voit. Un rapide adieu un peu forcé à Alain, sa femme, Serge, Bernadette, Éliane et un gros au revoir à Emmanuelle et Papy.
Nous reverrons Emma , en Aout, au Puy Sainte Réparade, dans la banlieue d'Aix en Provence où ses parents habitent.
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